​​The 9th Parachute Battalion were allocated to parachute into Normandy on 6 June 1944, D-Day. They were to parachute into drop zone V which is close to the village of Varaville. From here around 600 men should have successfully drop in and then moved off from the drop zone rendezvous (RV) point towards the village of Gonneville-en-Auge.&nbsp;​Once in the village of Gonneville-en-Auge, Lieutenant Colonel Otway and his men formed up at the RV point. It was from this point once formed up they moved off towards the battery. He should have had 600 men, but at 02:45 he only had 150. The attack would have to go ahead regardless.&nbsp;​The attack was finally made from the direction of the south of the battery. This was across a mine field which Lieutenant Colonel Otway and his 150 men would need to cross.&nbsp;​This was completed and the attack went in with the 9th Parachute Battalion understrength and under resourced. With the attack being made on all four casemates, casualties started to amount. Lieutenant Colonel Otway was satisfied that in the short time of the attack, all four cannons had been destroyed by his men. They began to withdraw back out across the minefield. Lieutenant Colonel Otway by then only had 80 men who were fit and able to fight. Some of the severely wounded men were left at the battery inside the casemates for protection.&nbsp;​To the north of the battery was the observation post where the German Battery commander, Oberleutnant (Lieutenant) Raimund Steiner. He received telephone calls during the early hours of 6 June about the attacks. He called on other German artillery batteries to fire directly onto the Merville Battery. He eventually made his way from the area Merville-Franceville-Plage and head towards the battery.&nbsp;​This walk covers all three main areas of the story of the Merville Battery from the 6-7 June 1944. This includes a visit to the Merville Battery Museum.​&nbsp;

France

La Route de la Libération de l’Europe est un itinéraire culturel certifié par le Conseil de l'Europe reliant les pays, régions, lieux de mémoire et histoires marquant la libération de l’Europe de l’occupation du régime nazi. La route a été conçue par la Fondation LRE comme un moyen de réfléchir à l’histoire de la guerre et à ses conséquences à longs termes grâce à une approche multinationale et multi perspective. Avec des centaines de sites et histoires dans neuf pays européens, la route relie les principales régions traversées par les forces Alliées en 1943-1945.La Fondation LRE et sa branche nationale LRE France présentent ici la Route de la Libération en France, la partie française de l’itinéraire qui vise à créer des sentiers de la mémoire dans toutes les régions françaises touchées par la Seconde Guerre mondiale et la Libération. Vous pouvez ainsi découvrir et visiter des musées, des monuments et des sites historiques, et en apprendre plus sur les histoires et les itinéraires thématiques de la LRE en France.

This German observation bunker was the eye’s of the Merville Battery and is located at Merville-Franceville-Plage. The officer in charge of the battery used this as his ‘bike shed’ for the bicycle he rode back and forth to the battery on.​ 

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 ​Overhead aerial of the gun battery at Merville (3km east of Ouistreham) consisting of four medium casemates, after air bombardment, May 1944. Bombing failed to penetrate the casemates and, because of the threat the battery posed to the landings on SWORD Area, it was attacked and neutralised by 9th Battalion, The Parachute Regiment in the early hours of 6 June.​ 

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​It was from this location in Gonneville-Auge that the men of the 9th Battalion headed to make the assault on the battery with only 150 men.​ 

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The officer in charge of the 9th Parachute Battalion that lead the assault on the Merville Battery. His memorial is within the grounds of the museum.​

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A view looking across the battery and the route of attack towards casemate 3 and 4.

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​​9th Parachute Battalion on D-Day​ 

Le WN05 était constitué de plusieurs positions défensives en béton surplombant cette petite zone de plage et se dirigeant vers l'ouest en direction de l'embouchure de l'Orne. Il comprenait de multiples emplacements de canons, tels que des canons de 75 mm et de 35 mm. Ils étaient soutenus par des nids de mitrailleuses et des canons antiaériens. Ce secteur du Mur de l'Atlantique était défendu par les soldats des 716e et 711e divisions d'infanterie allemandes. Le bunker d'observation était un élément clé de la batterie de Merville, située à 2 km au sud-est de WN05. La batterie était tenue par le régiment d'artillerie de la 716e division d'infanterie (1716e). En 1944, ce bunker se trouvait au bord de la plage ; au fil du temps, le déplacement du sable l'a placé parmi les dunes. La nuit du 5 juin 1944, Steiner était présent dans ce bunker. Il y avait rangé sa bicyclette, utilisée pour se déplacer entre la batterie et le poste d'observation. L'endroit est aujourd'hui appelé "l'abri à vélos de Steiner". Malgré cela, Steiner choisit d'utiliser un autre bunker, situé à 500 mètres à l'est, comme poste de commandement. En raison de la bruine et de la pluie, Steiner pense qu'un atterrissage est peu probable et s'endort. Le 6 juin, juste après minuit, Steiner est réveillé par un appel de son commandant en second, le Hauptwachtmeister Buskotte. Buskotte signale qu'un planeur allié a atterri près de la batterie de Merville et que le combat rapproché a commencé. Steiner contacte immédiatement le général Richter à 00h28 pour l'informer des combats, mais l'avertissement n'est pas pris au sérieux. Steiner et plusieurs de ses hommes sortent de leur bunker et s'enfoncent dans les dunes environnantes. Il se souvient du bruit des bombardiers qui survolaient des cibles situées plus à l'ouest. D'autres avions suivirent bientôt, remorquant des planeurs. Steiner a remarqué leur taille inhabituelle et a même tiré sur eux avec deux autres soldats. Il pense qu'un des planeurs qu'il a touché s'est ensuite écrasé à l'est de la batterie de Merville. Plus tard dans la matinée, Buskotte appelle à nouveau, déclarant que la batterie subit une nouvelle attaque. Il s'agit de l'assaut du lieutenant-colonel Otway et du 9e bataillon de parachutistes britanniques. Steiner ordonne à l'artillerie de la 711e Division de tirer sur la position de Merville en raison de la présence des Alliés et demande à Buschotte de déplacer les hommes dans des bunkers de protection. Le dernier appel de Buschotte signale que les Britanniques tentent d'utiliser des lance-flammes. Steiner récupère alors son vélo et se rend à la Batterie de Merville pour évaluer lui-même la situation.

Le bunker d'observation 'Bike Shed' de Steiner et WN05. 

L'opérationTonga a été entreprise par les hommes de la 6e division aéroportée britannique le 6 juin 1944, jour J. L'opération comportait plusieurs objectifs clés. Il s'agissait de capturer les deux ponts sur l'Orne et le canal de Caen. Détruire cinq ponts sur la Dives et neutraliser la batterie de Merville.La tâche de détruire les canons de la batterie de Merville est confiée au lieutenant-colonel Otway du 9e bataillon de parachutistes. Au total, son contingent d'hommes devait s'élever à environ 600. Ils devaient principalement être parachutés dans la zone de saut V, située à l'ouest de Varavile. Certains atterriront par l'intermédiaire de planeurs Horsa.La zone de saut V est située à 1 km au sud-est de la position Rendez-Vous(RDV). On y accède par le chemin Le débarquement. La drop zone se situe au nord et au sud du Chem de la Breche Binette. C'est ce chemin qui a été utilisé par Otway et ses hommes pour se rendre à la position RV depuis la zone de saut.À 00h30, le 6 juin 1944, un groupe d'avions bombardiers Lancaster effectue son pré-bombardement de la batterie de Merville. De nombreuses bombes manquent leur cible et atterrissent à proximité du premier groupe d'hommes du 9e Bataillon de parachutistes qui ont été parachutés. Ce groupe se trouvait dans la zone nord du RDV. Ils étaient connus sous le nom de Trowbridge Party. Peu après, le principal contingent d'hommes sera parachuté.Après le largage, Otway quitta la zone de parachutage et arriva au point de rassemblement de Gonneville-en-Auge à 1h30. Il était très inquiet car seul un petit nombre de ses hommes a réussi à être parachuté. Beaucoup d'entre eux ont été oubliés, perdus ou tués lors du débarquement. Otway sait que, quel que soit le nombre d'hommes, il doit avancer d'ici jusqu'à la Batterie de Merville pour lancer l'attaque. S'il ne le faisait pas, les canons auraient pu tirer sur la plage de Sword Beach et sur les débarquements qui auraient eu lieu le matin. Il s'agit là d'une grande menace pour la réussite des débarquements.À 2 h 45, alors qu'Otway commençait à se préparer à rejoindre la batterie, un groupe de 40 hommes arriva. Au total, les effectifs d'Otway ne n'étaient donc plus que de 150 hommes, alors qu'il aurait dû en avoir 600. Il n'avait pas non plus d'équipement lourd pour l'attaque, qui aurait dû comprendre des détecteurs de mines, car une fois sur place, ses hommes deviaent percer le champ de mines de la batterie.Otway et 150 hommes partirent de ce caravansérail et se dirigèrent vers la batterie en empruntant la rue du Douet Philibery. Le mémorial commémore les hommes qui ont attaqué la batterie de Merville, située à 1 km au nord de cette position.

Point de rendez-vous du 9e bataillon de parachutistes 

Le Jour J, l'une des missions confiée à la 6e division aéroportée britannique fut de détruire la batterie de canon allemande située à Merville. En effet, pour les services d'intelligence alliés, ces quatre bastions, situés à quelques kilomètres à l'intérieur des terres et lourdement armés, représentaient un danger imminent pour l'avancée des forces alliées sur Sword Beach.Cette mission audacieuse et difficile revint au lieutenant-colonel Terence Otway et à son 9e bataillon de parachutistes. Les quatre bastions en question étaient situés dans une zone encerclée de fils barbelés et truffée de mines et de nids de mitrailleuses. Les assaillants essuyèrent de nombreux revers. Les 750 parachutistes furent dispersés et seuls 150 d'entre eux réussirent à se regrouper. Ils durent quasiment se passer de leurs matériels d'assaut. Mais, l'assaut fut lancé malgré tout.À l'issue d'une demi-heure de violent combat, la batterie fut capturée. Presque la moitié des parachutistes britanniques furent tués ou blessés. Parmi les 130 soldats allemands du 1716e régiment d'artillerie, seul un quart survécut. Une fois les bastions pris, on se rendit compte que les services d'intelligence avaient surestimé le calibre du canon.Un partenariat franco-britannique permit l'ouverture du musée de Merville en 1983. Le musée est situé à l'endroit où se déroula la bataille. L'un des quatre bastions abrite un obusier de 100 mm, identique à celui déployé en 1944. À l'intérieur du musée, les visiteurs peuvent également admirer un avion Dakota qui prit part aux assauts aéroportés du 6 juin 1944.

Just after midnight on 6 June 1944 a battalion of the 6th British Airborne Division was deployed to destroy the cannon of the German battery in Merville before they could harm the Allied forces landing on Sword Beach. The Franco-British museum located inside the battery highlights the merciless battle fought by the paratroopers.

On D-Day, one of the missions of the 6th British Airborne Division was to destroy the German gun battery located in Merville. Indeed, the Allied intelligence services saw these four strongholds, located a few miles inland and armed with heavy guns, as a clear danger to the progress of Allied forces on Sword Beach.

Lieutenant-colonel Terence Otway and his 9th Parachute Battalion were to carry out this daring and difficult mission. Indeed, the 9th Battalion would have to attack the four strongholds in an area surrounded with barbed wire, strewn with land mines and machine gun nests.

The attack knew many setbacks. The 750 paratroopers were dispersed and only 150 of them could gather up. They had to do nearly without their assault equipments. But, the assault was launched all the same. After half an hour of fierce fighting, the battery was taken. Nearly half of the British paratroopers were killed or wounded. Of the 130 German soldiers belonging to the 1716th Artillery Regiment, only one quarter survived. Once the strongholds were taken, it became clear that the intelligence services had overestimated the caliber of the cannon.

A Franco-British partnership resulted in the opening of the Merville museum in 1983. The museum is located on the very spot where the battle took place. One of the four strongholds shelters a 100 mm field howitzer identical to the one deployed in 1944. Inside the museum area, visitors can also admire a Dakota plane involved in the airborne assaults on 6 June 1944.

Le 9e bataillon de parachutistes - DDay

Photos

Sites et histoires le long de la route

Le bunker d'observation 'Bike Shed' de Steiner et WN05.

Point de rendez-vous du 9e bataillon de parachutistes

Musée de la batterie de Merville