The port city of Le Havre, following the occupation by Nazi Germany forces in 1940, would see the facilities used by the Kreigsmarine (German Navy).&nbsp;The Kreigsmarine from Le Havre would patrol the channel and lay mines to try and prevent the western allies from landing in the area of Normandy.&nbsp;Following the allied landings on 6 June 1944, D-Day, on 12 September it would become the final location in the region of Normandy to be liberated.&nbsp;The themed walk allows you to see the Port area where on the D-Day, German torpedo boats left and were able to sink HMNS Svenner off Sword Beach.&nbsp;The liberation of the city is the focus with British forces moving in from the countryside towards the city. Breaching the German defensive lines as quickly as possible to try and secure a deep-water port. This would have assisted, logistically, the allies for movement of troops, supplies and vehicles as the frontline advance west.The German forces however scuttled the port to make it in operable for the allies, the ‘Feustung’ order.

France

La Route de la Libération de l’Europe est un itinéraire culturel certifié par le Conseil de l'Europe reliant les pays, régions, lieux de mémoire et histoires marquant la libération de l’Europe de l’occupation du régime nazi. La route a été conçue par la Fondation LRE comme un moyen de réfléchir à l’histoire de la guerre et à ses conséquences à longs termes grâce à une approche multinationale et multi perspective. Avec des centaines de sites et histoires dans neuf pays européens, la route relie les principales régions traversées par les forces Alliées en 1943-1945.La Fondation LRE et sa branche nationale LRE France présentent ici la Route de la Libération en France, la partie française de l’itinéraire qui vise à créer des sentiers de la mémoire dans toutes les régions françaises touchées par la Seconde Guerre mondiale et la Libération. Vous pouvez ainsi découvrir et visiter des musées, des monuments et des sites historiques, et en apprendre plus sur les histoires et les itinéraires thématiques de la LRE en France.

View of Le Havre  

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Monument au morts de Le Havre

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The impact of war on Le Havre

Le Havre était une installation portuaire clé pendant la Première Guerre mondiale pour le déploiement des soldats et du ravitaillement. Il jouait également un rôle crucial dans le processus d'évacuation des blessés. La plupart des sépultures du cimetière en témoignent, avec 1 690 sépultures identifiées et 8 sépultures non identifiées. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le port a de nouveau été utilisé par les Alliés. En 1940, lors de la chute de la France, les hommes de la 51e division des Highlands se sont retirés dans la région de St Valery et du Havre pour être évacués. Des milliers d'hommes ont été capturés au cours de cette période, et d'autres ont été tués ou sont morts de leurs blessures dans cette région, où ils ont ensuite été enterrés.Pour la 51e Highland Division, cette région est restée longtemps dans les mémoires. En septembre 1944, ils retournèrent libérer St Valery et Le Havre. Ils subirent d'autres pertes, qui sont enterrées dans les concessions de ce cimetière.Au total, il y a 364 sépultures identifiées et 59 autres non identifiées. Elles se trouvent dans les divisions 64 et 67 du cimetière. Les victimes datent de 1940, et de nombreux équipages de la RAF de la période suivante ont été tués en opération. Unpetit nombre de victimes du Jour J du 6 juin 1944 sont enterrées dans ce cimetière. Il s'agit de deux pilotes de planeurs et d'hommes du 12e régiment du Devonshire. Plusieurs sépultures datant du 10 au 12 septembre 1944 ont été inhumées lors de la libération du Havre. Il s'agit de la dernière localité de la région normande à avoir été libérée.Ces tombes sont entretenues par la Commission des sépultures militaires du Commonwealth (Commonwealth War Graves Commission).

Cimetière de Sainte Marie

Le mémorial a été sculpté par Pierre-Marie Poisson en 1922 ; il a été réalisé en 1924. La base en pierre s'élève depuis le niveau du sol, où le mémorial forme de nombreuses sculptures de soldats, d'hommes, de femmes et d'enfants.Autour de la base du mémorial sont inscrits les noms des morts de la Première Guerre mondiale originaires de la ville du Havre.En 1940, la guerre reprend en France et l'occupation allemande s'ensuit. Au cours de l'année qui suivit, les alliés occidentaux prirent pour cible les installations portuaires du Havre, causant d'importants dégâts dans la région.Le mémorial est resté intact, contrairement à presque tous les bâtiments qui l'entourent dans la zone portuaire. En septembre 1944, les forces britanniques sous le commandement des Canadiens ont libéré la ville. Dansles années qui ont suivi, le mémorial a été développé avec l'inclusion des personnes de la ville qui ont été tuées pendant la Seconde Guerre mondiale.Le mémorial mesure 10 mètres de haut et 5 mètres de large. Il est considéré comme l'un des mémoriaux les plus imposants de toute la France.

Monument aux morts

Cette partie de la falaise qui domine les plages de galets en contrebas a donné un avantage tactique aux défenses allemandes qui ont été créées dans cette zone. Premièrement, pour défendre la zone contre toute approche navale. D'autre part, le terrain plat et élevé devait être utilisé pour installer les systèmes de radar allemands afin de détecter les approches aériennes ou maritimes.Au nord de cette zone côtière se trouve l'ancien fort napoléonien français appelé "Dollemard". Il est plus connu aujourd'hui sous le nom de Batterie Dollemard. Elle se composait de deux grandes plates-formes de tir ouvertes, de cantonnements et d'un poste de contrôle des tirs. L'ancien fort avait été transformé en batterie par les occupants allemands, puis agrandi.Deux gros canons sur des plates-formes ouvertes étaient capables d'effectuer des tirs à 360 degrés. Mais l'objectif était de tirer sur la mer et sur tout navire allié qui s'approchait.Le poste de commandement des tirs se trouve au bord de la falaise et servait également de poste d'observation pour diriger et ajuster les tirs des deux canons qui étaient positionnés ici. D'autres bunkers en béton sont aujourd'hui fermés, mais ils servaient de lieu de stockage et de cantonnement pour le personnel positionné ici.Au sud de ce site se trouve le site radar allemand. De nombreuses structures en béton font partie de ce site.Le plus grand radar de ce site était le FuMO 5, système Wurzberg. Il pouvait détecter les avions et les navires alliés à une distance de 40 à 50 km du Havre. Ce système radar était également complété par le système Freya, plus petit mais plus moderne, ayant une portée de détection allant jusqu'à 200 km. La troisième grande structure du site était utilisée pour le personnel. Elle était exploitée par la Kreigsmarine (marine allemande).Lors de la visite de ce site, il est fortement conseillé de rester à l'écart des bords de la falaise et de ne pas pénétrer dans les positions en béton.

Défenses et radars allemands

Le rôle de la 30e unité d'assaut et ses opérations attirent encore aujourd'hui l'attention. L'unité a été formée sous le commandement des officiers de marine Ian Fleming et Lord Louis Mountbatten. Ian Fleming, après la fin de la Seconde Guerre mondiale, est devenu un auteur mondialement connu. Il a écrit les romans de James Bond et s'est inspiré de ses expériences de guerre, des opérations et des hommes avec lesquels il a servi pour créer des scénarios.La 30eunité d'assaut était présente au Havre lors de la libération, après l'avancée des 49e et 51e divisions d'infanterie vers la ville. Collectivement, elles ont commencé à avancer à partir du 10 septembre 1944 et ont libéré la ville le 12 septembre.La 30e unité d'assaut était présente et chargée de sécuriser le quartier général de la Kriegsmarine (marine). Ils recherchent des documents sensibles ou capturent des personnes d'un grand intérêt. Ils soutiennent l'infanterie qui progresse dans le centre-ville et la zone portuaire.Le 12 septembre, le Marine Jim Feely était avec l'unité lorsqu'elle est entrée au Havre. Jim a déclaré que lui et les autres avaient été capturés après la bataille pour prendre le QG. Au cours de cette bataille, il a déclaré qu'il était évident que certains Allemands ne voulaient pas être faits prisonniers de guerre. La majorité d'entre eux étaient d'accord, mais un petit nombre ne voulait pas être capturé. Toujours armés, ils tirent en direction des Marines.Au cours de ces tirs, Jim a heureusement échappé à une blessure, quelques balles ayant traversé sa veste en cuir. Il tomba sur le sol et fit le mort là où il était, puis fut capturé par les Allemands. Cependant, deux des Marines présents n'ont pas eu cette chance.Le capitaine "Red" Huntington-Whiteley et le marine Shaw sont tués par les Allemands, qui ne veulent pas se rendre. Le capitaine faisait partie de la 30e unité d'assaut depuis le début et avait recruté de nombreux hommes qui ont servi au sein de l'unité. Le capitaine et le soldat faisaient tous deux partie de la 33e section, troupe A. Les deux hommes sont enterrés dans le cimetière communal, aux côtés d'un soldat de la 51e division des Highlands.

Unité d'assaut 30, Royal Marines au Havre 

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, les forces allemandes ont créé des défenses autour de la ville du Havre, qui font partie des défenses du "Mur de l'Atlantique". De nouvelles positions défensives sont installées le long de la côte et dans la zone portuaire. D'anciennes positions défensives françaises ont également été fortifiées et utilisées, notamment la batterie Dollemard située au nord-ouest de la ville.Les forces allemandes savaient que les Alliés chercheraient à s'emparer des ports en eau profonde et à les utiliser une fois leur attaque réussie. Le Havre était l'un des ports les plus importants et les plus actifs de France, et la marine allemande (Kriegsmarine) l'avait également beaucoup utilisé. La marine alliée avait tenté d'empêcher l'utilisation du port en posant des champs de mines dans la région de la baie de Seine et de la Manche.Les occupants Allemands ont cherché à fortifier le port, et pas seulement par l'expansion du Mur de l'Atlantique. Ainsi, ils déploient plus de 110 pièces d'artillerie et canons navals dans la région, permettant de surveiller les approches terrestres de la ville. Les forces allemandes qui y tiennent garnison sont composées d'environ 8 000 hommes des 226e et 245e divisions d'infanterie. Quelques membres du personnel de la Kreigsmarine sont restés au moment de la bataille du Havre. Les Allemands avaient également créé un grand nombre de fossés antichars afin de protéger la ville des attaques venant de l'est. Ces fossés s'étendaient de Montivillers à Octeville-sur-Mer.Le port lui-même se trouvait à l'embouchure de l'estuaire de la Seine et donnait un accès idéal direct au fleuve et à la baie de Seine. La rive occidentale de la Seine avait été libérée et se trouvait aux mains des alliés depuis la fin de l'opération Paddle à la fin du mois d'août. Les forces britanniques et canadiennes se sont alors déplacées vers le sud et ont traversé la Seine à Elbuf avant de se diriger à nouveau vers le nord.Début septembre 1944, les forces Allemandes sont en plein repli vers l'est de la France, et continuent à tenir des garnisons dans certains des principaux ports. Elles finissent par détruire les ports de débarquement et les mettre hors d'usage pour les alliés.Ceux qui restent dans la région du Havre sont rapidement encerclés par la 49e division d'infanterie britannique et la 51e division des Highlands. Le 10 septembre, les unités britanniques avancent pour libérer la ville.La population de la ville était à l'origine de 50 000 habitants. Le 10 septembre, il n'en restait plus que 15 000, qui avaient besoin d'un abri au début de la bataille.

Forteresse du Havre

Le commandant d'escadre Wheeler s'est engagé le 17 octobre 1940 à Ottawa et a été formé dans le cadre du programme d'entraînement aérien de l'Empire. Le 11 avril 1941, il reçoit ses ailes et le grade de Sous-lieutenant d'aviation dans l'Aviation royale du Canada. De 1941 à 1944, il gravit les échelons jusqu'au grade de commandant d'escadre. Au cours de cette période, il se voit décerner une DFC. La citation de sa récompense indique ce qui suit : "En avril 1942, Wheeler était à la tête d'une deuxième section d'une formation d'avions Boston chargée d'attaquer les docks du Havre. Malgré les tirs antiaériens très intenses et précis qui touchent son avion à plusieurs reprises, Wheeler poursuit son attaque. Immédiatement après avoir largué ses bombes, le moteur bâbord tomba en panne à cause des dégâts causés par les tirs antiaériens, et il fut contraint de quitter la formation et de suivre derrière. Perdant régulièrement de l'altitude, il ramena habilement l'avion endommagé à la base. Son habileté et sa persévérance ont largement contribué au retour en toute sécurité de l'avion et de son équipage. En septembre 1941, à basse altitude et sous le feu nourri de la défense antiaérienne, le Wing Commander Wheeler a attaqué et coulé un navire de DCA de 800 à 1000 tonnes qui escortait un convoi. Il a fait preuve d'un courage, d'une ardeur et d'un dévouement qui ont largement contribué au succès obtenu. Il a donné le bon exemple".Le 15 février 1944, il participe à un raid de bombardement visant des travaux de construction à Flottemanville, situé à 25 km au sud-est de Cherbourg. Son avion est touché par des tirs antiaériens et s'écrase en direction de Cherbourg. Dans un premier temps, il a été porté disparu, mais par la suite, son décès et son enterrement au cimetière communal de Cherbourg ont été découverts.Les archives du gouvernement du Canada détiennent un dossier complet qui donne un aperçu de son service et de la façon dont sa famille a été informée de son décès sur plusieurs années. Ce dossier comprend également des lettres manuscrites adressées aux autorités canadiennes pour leur demander des informations.

Le Commandant d'escadre Arthur Brian Wheeler 

La Première armée canadienne et le 21e groupe d'armées britannique ont traversé la Seine et éliminent les dernières troupes allemandes tandis que les alliés avancent vers l'est. Les Canadiens de Rouen ont poussé vers le nord jusqu'à Dieppe. Un petit nombre d'unités britanniques avait été rattaché à la Première armée canadienne pour l'aider dans sa tâche.Les 49e et 51e divisions d'infanterie se déplacent vers l'ouest et la région du Havre. Elles ont commencé à encercler la ville et le port. Le 5 septembre, le bombardement préalable à l'opération Astonia commence par de multiples raids de bombardement sur la ville et ses défenses. Les bombardements s'intensifient et le 10 septembre, la Royal Navy participe à l'opération. Les HMS Warspite et HMS Erebus sont équipés de canons de 38 centimètres. Le soutien de la Royal Air Force (RAF), de la Royal Navy et de l'artillerie royale des 4e et 9e groupes d'armées a permis de déverser une grande quantité de munitions sur les défenses tout autour de la ville. Lors d'un grand raid de la RAF, plus de 1 800 bombardiers ont largué près de 10 000 tonnes de munitions.À 17h45, le 10 septembre, les navires de la Royal Navy ouvrent le feu sur les défenses côtières et un dernier raid de la RAF permet de larguer 5 000 tonnes de bombes supplémentaires. À l'est du Havre, des unités de la 49e division d'infanterie britannique se lancent à l'assaut des lignes de défense allemandes et des fossés antichars.Au cours de ce nouveau bombardement des défenses, le 1st East Riding Yeomanry est chargé d'effectuer un tir régimentaire. L'unité blindée, composée de chars Sherman, devait compter environ 60 chars au total. Tous les chars ont été déployés pour tirer sur des cibles. Ils avaient reçu l'ordre de tirer 60 coups par char, une opération visant à soutenir l'artillerie. Les chars auraient ainsi tiré environ 3 600 obus sur les positions allemandes.Le 11 septembre 1944, l'attaque se poursuit et les forces britanniques libèrent les villages à la périphérie du Havre. Les forces Allemandes encore présentes sont ainsi contraintes de se replier sur les défenses extérieures de la ville. Le 12 septembre 1944, les 49e et 51e divisions d'infanterie entrent dans la ville. À 11h45, le commandant allemand de la garnison se rend aux forces britanniques. La ville du Havre est enfin libérée. Cela marque également la libération de la région de Normandie. C'est le dernier endroit à être libéré dans la région où les alliés ont débarqué le 6 juin 1944.

L'impact de la guerre sur Le Havre

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