​​To support and sustain the landings in Normandy, logistical supplies would be key. The Mulberry artificial harbours would support this, but if possible, a deep-water port would further assist in the disembarkation of supplies.&nbsp;​The closest deep-water port to the five landing beaches that would be achievable to advance towards was that of Cherbourg on the northern coastline of the Cotentin peninsula. From 14 June, the US 9th &amp; 79th Infantry Divisions pushed north and towards the city. A siege would then ensue as the German forces looked to resist the American advance. They would also begin to destroy and scuttle the port facilities to deny their use to the allies.&nbsp;​General Von Schlieben surrendered the city and the remaining German forces on 26 June.&nbsp;​The walk takes the visitor into the story of the battle of Cherbourg with the Musée de la Libération. Around the area of the port and quays, numerous German defensive positions can still be located.&nbsp;​At the Cherbourg old Communal Cemetery, there are just over 700 burials. The British and Commonwealth burials number 86 graves, the majority from the 1940 period during the German advance and the fall of France. There is a large French plot containing men who died during the First World War.&nbsp;​Numerous memorials can be found that commemorate the battle of Normandy, those who resisted the German occupation, and the liberation by the Americans in June 1944.​&nbsp;

France

La Route de la Libération de l’Europe est un itinéraire culturel certifié par le Conseil de l'Europe reliant les pays, régions, lieux de mémoire et histoires marquant la libération de l’Europe de l’occupation du régime nazi. La route a été conçue par la Fondation LRE comme un moyen de réfléchir à l’histoire de la guerre et à ses conséquences à longs termes grâce à une approche multinationale et multi perspective. Avec des centaines de sites et histoires dans neuf pays européens, la route relie les principales régions traversées par les forces Alliées en 1943-1945.La Fondation LRE et sa branche nationale LRE France présentent ici la Route de la Libération en France, la partie française de l’itinéraire qui vise à créer des sentiers de la mémoire dans toutes les régions françaises touchées par la Seconde Guerre mondiale et la Libération. Vous pouvez ainsi découvrir et visiter des musées, des monuments et des sites historiques, et en apprendre plus sur les histoires et les itinéraires thématiques de la LRE en France.

cherbourg_panoramique_haut_sca.jpg

The port of Cherbourg would be key to the supply chains for the allies in Normandy. After bitter fighting the town was liberated but the port facility destroyed. Over the coming months it would slowly be rebuilt and begin to operate.​ 

port_of_cherbourg_under_rehabilitation.jpg

The siege of Cherbourg

William F Finley est néle25 juin 1924 à Macon, Macon County, Illinois, États-Unis. Il s'est engagé et a servi dans le 39e régiment d'infanterie, 9e division d'infanterie.Cette division a été l'une des premières unités de combat américaines à prendre part aux combats sur le théâtre de guerre du Pacifique. Elle a ensuite été redéployée en Afrique en 1942 et en Italie en 1943. Elle sera retirée d'Italie et envoyée au Royaume-Uni pour s'entraîner avant le jour J, le 6 juin 1944. Ils débarquent à Utah Beach à J+4, le 10 juin. Ils se dirigent immédiatement vers le nord et la ville de Cherbourg.Initialement, le 39e régiment d'infanterie était rattaché à la 4e division d'infanterie américaine qui poussait le long de la côte est du Cotentin. Le régiment était connu sous le nom de "Anything, Anywhere, Anytime - Bar Nothing !" ("Tout, partout, à tout moment, sans exception"). Après la prise de Quineville, le régiment retourne à la division qui, entre le 14 et le 25 juin, se bat contre des défenses allemandes obstinément bien placées. Ils encerclent lentement la ville alors que les Allemands commencent à utiliser les défenses du port, mais les Américains neutralisent peu à peu cette menace. Le port a été sabordé et gravement endommagé. Les forces allemandes se sont rendues le lendemain.C'est ici, à l'Hôtel de Ville, que le sergent William F. Finley fut le premier soldat américain à arriver. Une plaque commémorative lui est dédiée.Il suivit ensuite l'avancée américaine en Allemagne. Au cours de son service, il a été décoré d'une Étoile de bronze avec deux Oak eaf Clusters et d'un Purple Heart. Il est mort de ses blessures le 1er avril 1945 et est enterré au cimetière américain des Pays-Bas, à Margraten. Sa dernière récompense pour bravoure, une étoile d'argent, lui a été décernée à titre posthume.Leprésident des États-Unis d'Amérique, autorisé par la loi du Congrès du 9 juillet 1918, est fier de remettre la Silver Star (à titre posthume) au sergent William F. Finley (ASN : 35782572), de l'armée des États-Unis, pour la bravoure dont il a fait preuve au combat alors qu'il servait dans la 9e division d'infanterie, au cours d'une action contre l'ennemi le 12 décembre 1944, dans les environs de Derichweiler, en Allemagne. Alors qu'il accompagnait son commandant de compagnie lors d'une mission de reconnaissance, le sergent Finley a été soumis à d'intenses tirs de pistolets-mitrailleurs ennemis. Se frayant un chemin jusqu'à l'avant de la maison, il a ensuite rampé sur le toit d'une grange, bien qu'il ait été exposé à l'observation directe et aux tirs de l'ennemi situé dans le hangar de la grange. Ouvrant le feu sur la remise avec son fusil, il a ensuite sauté du toit et s'est précipité vers la fenêtre de la remise. Il a lancé deux grenades à main à l'intérieur du bâtiment et a tué deux soldats ennemis, neutralisant ainsi un poste d'observation de mortier. Ses actes de bravoure et son dévouement au devoir, sans égard pour sa propre vie, étaient conformes aux plus hautes traditions du service militaire et font grand honneur à lui-même, à son unité et à l'armée des États-Unis.

Sergent William F.Finley 

Les deux "groupes de combat" étaient composés de navires de la Royal Navy (RN) et de navires américains (USS), soutenus par des embarcations navales et des moyens aériens supplémentaires. Le premier groupe de bataille comprenait le cuirassé USS Nevada, un survivant de Pearl Harbour. Il a été rejoint par les croiseurs USS Tuscaloosa, USS Quincy, HMS Glasgow et HMS Enterprise, ainsi que par les destroyers USS Ellyson, USS Hambleton, USS Rodman, USS Emmons, USS Murphy et USS Gherardi. Le groupe de combat 2 était composé des cuirassés USS Texas et USS Arkansas, soutenus par les destroyers USS Barton, USS O'Brien, USS Laffey, USS Hobson et USS Plunkett. Chaque navire disposait de guetteurs aériens opérant par paires pour observer et relayer la chute des tirs navals. Les officiers au sol communiquent également directement avec les navires pour demander ou ajuster les tirs. À 9 h 40 le 25 juin, les groupements tactiques se dirigent vers Cherbourg, situé à environ 15 milles au large. Les dragueurs de mines mènent l'approche, dégageant les voies sous le feu des batteries côtières allemandes. À 9 h 50, le Battle Group 2 atteint sa zone d'appui-feu. À 18 000 mètres, l'USS Arkansas ouvre le feu sur la batterie de Hambourg à Fermanville. Les canons allemands ripostent. La plupart des tirs sont manqués, mais l'USS Barton est endommagé par un ricochet et l'USS O'Brien est touché sur le pont. Le groupement tactique 1 se rapproche de la côte, les destroyers posant des écrans de fumée contre les tirs entrants. Ils engagent la batterie de Querqueville. Après un duel de quatre heures, la batterie est temporairement neutralisée. Le HMS Glasgow et le HMS Enterprise sont tous deux touchés mais restent opérationnels. À 12:12, les forces terrestres commencent à lancer des missions de tir. L'USS Nevada et l'USS Quincy attaquent de nombreuses cibles à l'intérieur des terres au cours des trois heures et demie qui suivent. L'USS Ellyson et le HMS Glasgow ont soutenu les attaques sur Gruchy, où le Glasgow a tiré une salve de 54 coups qui a réduit la batterie au silence. L'USS Emmons a pris pour cible le Fort de l'Est. À 13 h 35, l'USS Texas est touché par un obus de la batterie de Hambourg. L'obus est raté et n'explose pas. Soutenus par l'USS Arkansas, les deux navires continuent de bombarder la batterie et une autre position à proximité. Vers 14h00, l'USS Nevada se joignit à l'attaque. À 15 heures, l'ordre est donné de cesser le feu et de se retirer. Le général "Lightning Joe" Collins, du VIIe corps d'armée américain, écrit plus tard à l'amiral Morton Deyo, commandant des groupements tactiques navals : Le bombardement naval des batteries côtières et des points d'appui autour de Cherbourg [...] a donné d'excellents résultats et a permis d'engager le feu de l'ennemi pendant que nos troupes prenaient d'assaut Cherbourg par l'arrière.

Bombardement naval de Cherbourg

Le mémorial est né de la volonté d'un ancien résistant et déporté de Cherbourg. En 1952, Marcel Leclerc souhaitait qu'un mémorial soit érigé à la mémoire de ceux qui avaient été tués par les nazis pendant l'occupation.En 1956, la Marie, René Schmitt, a honoré cette volonté en construisant et en inaugurant le mémorial. Le mémorial est un grand triangle dont la pointe représente la résistance à l'oppression.À la base du mémorial, seize urnes sont enterrées. Chacune contient les cendres de résistants du maquis de Beaucoudray, de Saint-Jean-du-Corail, du Jura et du Vercors. Certaines urnes contiennent de la terre des camps d'extermination.Marcel Leclerc, à l'origine du mémorial, est né à Cherbourg en 1899. Il travaille comme instituteur et, pendant la Seconde Guerre mondiale, fonde en 1942 le réseau Libération-Nord aux côtés de René Schmitt. En 1943, il est arrêté à Saint-James avec certains de ses élèves cherbourgeois. Le 11 novembre 1943, il est transporté à Natzweiler-Struthof, en Allemagne. Il survit à son séjour dans le camp et est évacué vers Dachau en septembre 1944. Il est libéré le 29 avril 1945 et revient à Cherbourg le 3 juin. Il a eu la chance de survivre, contrairement à beaucoup d'autres qui ont résisté.Lors du transport de Marcel Leclerc, cinq autres personnes qui travaillaient à Cherbourg ou dans les environs ont été déportées.Raymond Brule travaillait dans une distillerie locale ; c'était un ancien combattant de la Première Guerre mondiale, il s'était engagé dans la résistance en 1942. En 1943, son réseau est infiltré par la Gestapo, ce qui entraîne sa déportation. Il sera finalement transporté au camp de concentration de Gross-Rosen. Dans des conditions épouvantables, il y meurt le 17 décembre 1944.Alfred Duros travaille avec Raymond Brule et entre en résistance à la même époque. Il est arrêté en même temps que lui et fait partie du transport du 11 novembre. Il suit Brule dans le même camp en Pologne avant d'être transféré à Dachau. Il mourra le 30 avril 1945, au lendemain de la libération du camp par les forces américaines.Emile Lecarpentier, d'Octeville, entre dans la résistance. Il distribue des tracts et héberge des résistants. Il est arrêté le 7 mai 1943 et déporté le 11 novembre. Il est envoyé au camp de Natzweiler-Struthof, en Allemagne. Il y meurt le 26 mai 1944.Louis Legaigneur est arrêté le 4 septembre 1943 pour avoir coupé des câbles téléphoniques à Gatteville-le-Phare. Il est déporté le 11 novembre au camp de Natzweiler-Struthof, en Allemagne. Il en sera évacué en septembre vers Dachau. Il y meurt le 30 janvier 1945.Ange Leparquier travaille localement dans les usines de l'arsenal de Cherbourg. Il participe activement à la résistance et se livre à des actes de sabotage. Il est arrêté le 9 mai 1943 et déporté le 11 novembre. Il est envoyé au camp de Natzweiler-Struthof, en Allemagne, où il meurt le 7 mai 1944.Le mémorial rappelle les actes de bravoure accomplis par de nombreuses personnes, comme ces hommes de la région.

Monument des martyrs de la résistance

Cherbourg était l'une des villes les mieux défendues de la région normande. L'une des principales raisons en est le port. Celui-ci avait été largement utilisé par les forces d'occupation, notamment pour la construction d'enclos pour bateaux E et d'installations pour les armes de vengeance d'Hitler.Les forces d'occupation allemandes se sont finalement rendues aux forces américaines le 26 juin. Au cours des combats intenses qui se sont déroulés à partir du 14 juin, date du début du siège de la ville, plus de 12 000 Allemands ont été tués. Les autres ont été blessés ou capturés, ce qui porte le nombre de victimes allemandes à 30 000.Lorsque les forces américaines ont finalement atteint la zone du port de Cherbourg, elles ont découvert que les forces allemandes l'avaient sabordé. Pour que les alliés puissent l'utiliser comme port opérationnel, il fallait donc le reconstruire.C'est ce qui a été fait et, le 16 juillet 1944, le port était ouvert aux grands navires. Ils peuvent s'amarrer au quai et décharger leur matériel. Les installations portuaires allaient continuer à être reconstruites et agrandies, car le port allait devenir une ligne de ravitaillement essentielle pour les alliés au fur et à mesure qu'ils avançaient au-delà de la Normandie.La plaque commémorative rappelle que la ville s'est vu attribuer la reconnaissance de la bataille en juin 1944.Ville de Cherbourg Citation de l'ordre de l'Armée Lacité patriote joue un rôle considérable dans la bataille de Médéas en 1944 sur le front occidental. Libérée les 26 et 27 juin par les troupes de la Première Armée américaine, elle s'est immédiatement mise au travail avec ardeur. Ses spécialistes, ses ouvriers de l'arsenal et ses dockers aidant les Américains permettent l'utilisation rapide du port. Malgré les dégâts que ses installations avaient subis, les épaves brisées dans les passes et les mines qui y trônent, furent huit mois durant la source d'hommes et de matériel pour tout le potentiel de guerre américain. Croix deguerreavec palme, Paris 2 juin 1948

Mémorial de la bataille de Normandie

Dix jours après le débarquement, la situation des forces allemandes dans la péninsule du Cotentin devint critique. La zone était sur le point d’être coupée en deux par les Alliés. Face à la menace d'un piège, Hitler permit au général Von Schlieben de se retirer vers le nord le 17 juin afin d’assurer la défense de Cherbourg-en-Contentin et de toute la partie nord de la péninsule. Dans la nuit du 17 au 18 juin, la 9ème division d’infanterie américaine atteignit la côte ouest. La péninsule fut coupée en deux, de Quinéville à Barneville. 30 000 soldats allemands furent piégés.Le 19 juin, les défenses de Montebourg s'étaient effondrées et la 79ème division d’infanterie occupa Valognes dans la soirée. Les 4ème, 9ème et 79ème divisions américaines atteignirent les défenses extérieures d’Cherbourg. Nommé commandant de la forteresse de Cherbourg par Hitler, Général Karl-Wilhelm von Schlieben rejeta l’ultimatum du général américain Joseph Lawton Collins qui lui demanda de se rendre le 22 juin. Suivant les ordres du Führer, son intention était de défendre le port et la ville jusqu’au dernier homme. Les premiers bombardements aériens furent ensuite menés sur les points fortifiés du port. Près de 1 000 avions bombardèrent les défenses de la ville pendant plus de 80 minutes. Les trois divisions américaines plongèrent ensuite dans les brèches pour détruire la première ligne allemande devant Cherbourg. Les forces allemandes, en revanche, détruisirent les infrastructures portuaires de la ville. La gare maritime fut détruite dans la nuit du 23 au 24 juin 1944. L'avancée américaine s'intensifia à partir du 24 jusqu’au 26 juin. Le Fort du Roule surplombant la ville fut atteint le 24 juin après des combats intenses et des tirs d'artillerie navale. Les villes de Tourlaville et d’Équeurdreville tombèrent peu de temps après. Le 26 juin, les troupes américaines entrèrent dans Cherbourg guidés par la population locale. Ils capturèrent Von Schlieben et l'Amiral Walter Hennecke ainsi que 800 soldats allemands. Les pertes associées à la prise de Cherbourg furent lourdes pour le 7ème corps américain : 3 000 morts, 3 000 disparus et 13 500 blessés. Après les dernières capitulations du 1 juillet au Cap de la Hague, 11 000 soldats allemands perdirent la vie et 39 000 furent faits prisonniers de guerre.Cherbourg-en-Contentin devint le premier port français libéré par les troupes américaines. Le 16 juillet 1944, les premiers grands navires pouvaient y accoster pour assurer le ravitaillement de l'avancée des Alliés lors de la bataille de Normandie.

Bataille de Cherbourg

La conquête du port en eau profonde de Cherbourg était absolument cruciale pour assurer le succès des troupes alliées sur le vieux continent. Reprendre ce port permettrait en effet aux navires américains de naviguer directement depuis les États-Unis jusqu'en Europe. Après le débarquement des forces américaines sur la plage d'Utah Beach le 6 juin 1944, les Allemands bloquèrent la route menant à Cherbourg. La ville de Montebourg fut reprise au terme de combats féroces, au cours desquels elle fut presque entièrement détruite. Les Américains décidèrent alors d'isoler Cherbourg en coupant la péninsule du Cotentin. Ils atteignirent ainsi la côte ouest du Cotentin à Barneville le 18 juin 1944. Environ 40 000 soldats allemands étaient alors pris au piège. Certains choisirent de se rendre, mais la majorité préféra battre en retraite en direction de Cherbourg. Les troupes américaines progressèrent rapidement vers la ville, où elles durent faire face à une forte résistance. Les bombardements massifs des avions et navires de guerre alliés affaiblirent toutefois les lignes de défense allemandes. Le 26 juin, les Américains parvinrent ainsi à s'emparer de l'imposant Fort du Roule, niché au sommet d'une colline surplombant le port de Cherbourg. Ce jour-là, le général von Schlieben se rendit au général Collins. La ville était presque intacte, mais le port avait été entièrement détruit par les Allemands. Pourtant, après d'importantes réparations d'urgence, le port fut à nouveau accessible aux bateaux avant la fin du mois de juillet. Le Musée de la Libération, aménagé dans le Fort du Roule, retrace l'occupation et la libération de la péninsule du Cotentin, ainsi que le rôle joué par le port de Cherbourg dans les opérations des Alliés. Niché à 117 mètres au-dessus du niveau de la mer, il offre une vue à couper le souffle sur le port.

During the summer of 1944 Cherbourg was the most important harbour in the world. For the Allies it was the vital gateway to Europe, indispensable for supplying their campaign in Western Europe. Despite fierce German resistance, U.S. troops seized the city on 26 June 1944. The Liberation Museum reminds us of this dramatic episode.

The deep-water port of Cherbourg was absolutely vital to the success of the Allied troops on the continent. Possession of the port would enable American ships to navigate directly from the United States to mainland Europe.

After the U.S. troops landed on Utah Beach on 6 June 1944, the Germans blocked the road to Cherbourg. Montebourg was conquered after fierce fighting and was almost completely destroyed in the process. The Americans decided to isolate Cherbourg by cutting off the Cotentin peninsula. On 18 June 1944, they reached Barneville on the west coast of the Cotentin. Approximately 40.000 Germans were closed in. Some of them surrendered, but the majority retreated around Cherbourg. The Americans rushed towards the city, where they encountered heavy resistance.

Massive bombing by Allied aircraft and warships weakened the German defences. On 26 June, the Americans managed to seize Fort du Roule, an imposing fortification perched on a hill overlooking the harbour. On the same day General von Schlieben surrendered to General Collins. The city was almost intact, but the port facilities were completely destroyed by the Germans. Still, after extensive emergency repairs the first ships were able to use the harbour by late July.

The museum located at Fort du Roule reminds us of the occupation and liberation of the Cotentin peninsula, as well as the role played by the port of Cherbourg in the Allied operations. Situated 117 meters above sea level, it offers a breath-taking view of the harbour.

Le siège de Cherbourg

Photos

Sites et histoires le long de la route

Sergent William F.Finley

Bombardement naval de Cherbourg

Monument des martyrs de la résistance

Mémorial de la bataille de Normandie

Bataille de Cherbourg

Musée de la Libération de Cherbourg