The operation was very ambitious, but failed due to poor weather conditions and fierce German resistance. Fighting was particularly hard at the narrow passageway near Son en Breugel, 'Hell's Highway', and the Arnhem bridge. The US 101st Airborne Division was ordered to secure nine bridges over 22 kilometres between Eindhoven and Veghel and fought in the area of Son and Breugel. The British 30th Army Corps could then carry out the advance towards Nijmegen and Arnhem. There were multiple reasons for the failure of the operation: the distances between the air landing zones and the bridges at Arnhem and Nijmegen were too big, there were communication problems, the difficult advance of ground troops and mistakes by the supreme command. The Allies ultimately failed to capture the last bridge at Arnhem; it became the proverbial 'bridge too far'.

The Netherlands

Son & Breugel cycling route

In the city heavy fighting took place and later the Allied troops started their advance from here towards Berlin. Even before that, it was an area under occupation, experiencing wartime violence.The route takes you along beautiful cycle paths passing several monuments, commemorating amongst others the persecution of Jews and the bombing of 22 February 1944. It also highlights the resistance, the battle for the bridges and for the liberation of the city during Operation Market Garden in September 1944. Crossing the historic city centre and along the cycling along the river, this is a varied route that brings different stories together.

Nijmegen area cycling route

Especially from 1944 onwards, the relative calm for residents changed. More often they saw German soldiers or men of the Ordnungspolizei, also known as Grüne Polizei because of their green uniform. Civilians were forced to do digging work for the German occupiers, as part of Organisation Todt. When the war came close, male residents were forced to dig tank trenches and foxholes. When the German troops capitulated, ammunition, weapons and vehicles were collected in Zoelen. Some of the vehicles were soon put to non-military use by fire brigades and construction and transport companies. After the liberation, the Orange town of Buren, nicknamed that way since Queen Wilhelmina was Countess of Buren, celebrated the passage of Canadian and Belgian troops.

The Second World War in Buren

Ce parcours comprend des sites et des récits sur l'expérience des habitants de la ville de Pilsen pendant la Seconde Guerre mondiale, qu'il s'agisse des habitants, des résistants ou de la population juive.Les visiteurs peuvent découvrir les sites importants et les histoires de ceux qui ont défendu la ville de Pilsen, comme la plaque commémorative de la rue Čechova en l'honneur des combattants de la Résistance, et les événements du 19 rue Klatovská, le quartier général de l'armée allemande pendant l'occupation nazie. Des lieux tels que l'hôtel Continental, utilisé comme abri antiatomique par les habitants mais aussi comme quartier général de l'armée américaine, rappellent comment la guerre a affecté la vie quotidienne de la population et façonné la ville et ses bâtiments.L'itinéraire met également en lumière l'expérience et les souffrances des Juifs, qui ont été persécutés et déportés. Découvrez l'histoire de Vera Kohnová, ou de la famille Fanta, et visitez la Grande Synagogue de Pilsen, la troisième plus grande d'Europe et la cinquième du monde, qui a également été occupée. Le mémorial du Jardin des souvenirs, situé dans le complexe de la vieille synagogue, offre un lieu de réflexion et de souvenir.

Czech Republic

Expérience civile à Pilsen

Si le soulèvement a permis de s'emparer de nombreux lieux stratégiques de la ville, les groupes de la Résistance n'ont pas réussi à occuper le quartier général militaire allemand situé au 19 de la rue Klatovská, car le général Georg von Majewski, commandant de la garnison allemande à Plzen, a refusé de se rendre. Le soulèvement a pris fin avec l'arrivée des soldats américains de la troisième armée du général Patton dans la matinée du 6 mai 1945, qui ont éliminé les dernières poches de résistance allemande.Sur ce parcours, les visiteurs peuvent découvrir les sites clés, les histoires et les personnes impliquées dans le soulèvement. Des monuments de la place de la Paix à la maison de la rue Klatovská 19, lieu de négociations dramatiques pour la reddition allemande de Pilsen. Les souvenirs de certaines des personnes clés impliquées dans cette histoire comprennent des monuments commémoratifs comme le plaque en mémoire de Jindřich Křečan et le pont Roosevelt, qui honorent le membre local de la Résistance Jindřich Křečan et le président américain Franklin D. Roosevelt. Enfin, la fin de la guerre est rappelée par la plaque commémorative située au confluent des rivières Mže et Radbůza, qui commémore le jour de la première émission de radio libre en langue tchèque à Pilsen en 1945.

Le soulèvement de Pilsen

En mai 1945, la ville de Pilsen a été libérée par les forces américaines sous le commandement du général Patton. Les troupes sont restées dans la ville jusqu'au défilé final organisé sur la place de la République (Náměstí Republiky) le 20 novembre 1945, au cours duquel la population locale a fait ses adieux aux soldats américains.Aujourd'hui, cette histoire n'est pas oubliée. Une promenade dans la ville permet de découvrir plusieurs monuments, musées et points de repère qui racontent la libération de Pilsen à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le rôle des troupes américaines et de leur célèbre général Patton.

Libération de Pilsen

Lucques représente traditionnellement une île " blanche " dans une Toscane " rouge ". Entre 1923 et 1927, les frontières de la province ont été redessinées, avec l'inclusion de la Garfagnana et l'exclusion de la Valdinievole. Idreno Utimpergher, ancien secrétaire des syndicats fascistes et organisateur de la RSI à Trieste, se distingue pendant la guerre. Les partisans agissaient principalement en Versilia et dans les Apennins, mais ils étaient dirigés par le Cln de Lucques. Le parcours en centre-ville reconstitue les différents aspects de la Résistance de Lucques. <div data-youtube-video=""><iframe class="video" allowfullscreen="false" src="https://www.youtube.com/embed/ldnz3k5dBZI" start="0" width="640" height="480"></iframe></div>Il décrit la violence allemande et les bombardements alliés et il passe par les lieux du pouvoir fasciste et du contre-pouvoir partisan. Il reconstruit la naissance et le développement de la Résistance, en se référant à son articulation politique et militaire, mais aussi au rôle spécifique des religieux, des femmes et des intellectuels. Une attention particulière est accordée à la dynamique de la Libération au début du mois de septembre.

Italy

Guerre et résistance à Lucques

Cet itinéraire permet aux visiteurs de découvrir les sites et les histoires liés aux batailles menées au nord et à l'est de Bastogne, par les troupes des 506e et 501e régiments d'infanterie parachutiste de la 101e division aéroportée américaine.Le paysage<s>s</s> entre les villages de Mageret et de Foy est encore marqué par les traces des combats. Depuis la fin du XXe siècle, divers monuments ont été érigés dans la région qui rappellent en permanence les sacrifices consentis par de nombreuses personnes au cours de la bataille des Ardennes.L'un de ces monuments, situé entre Bizory et Foy, rappelle le sacrifice de nombreux soldats américains tués au combat dans la région du Bois Jacques.Un autre site commémoratif, est celui du Bois de la Paix. A travers chacun de ses arbres commémoratifs, il rend hommage à tous les soldats et unités américains qui ont combattu lors de l'Offensive des Ardennes. Inauguré en 1994, le message de paix du bois prend tout son sens vu du ciel, les arbres du souvenir étant disposés selon la forme du symbole de l'UNICEF.En suivant ce parcours dans la campagne ardennaise, le visiteur découvrira l'ampleur des combats, les difficultés rencontrées par les soldats dans leurs tranchées et sur la ligne de front, ainsi que la peur et la souffrance des civils piégés à l'intérieur et à l'extérieur du périmètre de Bastogne pendant l'hiver 1944-1945.Le parcours est accessible aussi bien aux marcheurs qu'aux cyclistes.

Belgium 

Bois de la paix

Le long de la rivière Geul et à Valkenburg, les Allemands ont également opposé une résistance importante pendant une courte période. Kerkrade, qui se trouve près de la frontière allemande, a été en grande partie évacuée à la fin du mois de septembre. Les habitants ont dû traverser le front à pied pour rejoindre le territoire libéré. Malgré un cessez-le-feu temporaire, l'artillerie allemande les a bombardés en cours de route, tuant 13 personnes et blessant de nombreux réfugiés. Les contrastes étaient particulièrement marqués, car ailleurs, la situation n'était pas aussi mauvaise, avec des célébrations de la libération dans les villages proches, eux libérés. Tard dans la nuit, ils sont retournés dans leur ville d'origine, elles toujours aux mains des Allemands.Dans de nombreux endroits, les traces de la Seconde Guerre mondiale sont encore visibles. L'endroit le plus impressionnant est sans aucun doute le cimetière américain de Margraten. Vous pouvez y voir et ressentir ce que signifie la liberté.

La Libération du sud du Limbourg

La longueur totale de l'itinéraire est de 240 kilomètres et peut être parcourue en plusieurs étapes. Commençant au musée Liberation Garden à Bourg-Léopold, l'itinéraire suit le système des nœuds cyclistes, permettant une navigation hors ligne simple.L'Opération Market Garden est l'une des plus grandes opérations alliées de la Seconde Guerre mondiale. Elle s'est déroulée en septembre 1944 dans les provinces néerlandaises du Brabant-Septentrional et de la Gueldre. Le but de l'opération était de sécuriser les ponts clés sur trois grands fleuves des Pays-Bas (Maas/Meuse, Waal et Rhin) afin de contourner les lourdes défenses allemandes de la ligne Siegfried (Westwall) qui protégeait le cœur de l'Allemagne au-delà du Rhin. Les Alliés espéraient une avancée rapide vers Berlin permettant de mettre fin à la guerre avant Noël.L'Opération se composait de deux parties: l'Opération Market (la plus grande opération aéroportée de l'histoire de la guerre) et l'Opération Garden (la campagne au sol du 30e corps visant à sécuriser les ponts capturés par les forces aéroportées).L'Opération était très ambitieuse et a finalement échoué en raison des conditions météorologiques et de la forte opposition allemande, en particulier au passage de Veghel, Hell's Highway (l'autoroute de l'enfer), et près du pont d'Arnhem. Mais d'autres causes expliquent l'échec : les zones de largage aéroportées étaient situées trop loin des ponts de Nimègue et d'Arnhem, les problèmes de communication, l'avancée laborieuse des troupes terrestres et quelques erreurs commises par les hauts commandants dans les derniers jours de l'opération. En fin de compte, les Alliés n'ont pas réussi à prendre le dernier pont d'Arnhem : le fameux "pont trop loin".<div data-youtube-video=""><iframe class="video" width="640" height="480" allowfullscreen="false" src="https://www.youtube.com/embed/U1vHN4j94dg" start="0"></iframe></div>

Routes thématiques

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